[Refusé]Candidature de Theocunboss
4 participants
:: Partie Publique :: Candidatures
Page 1 sur 1
[Refusé]Candidature de Theocunboss
Bien le bonjour, je suis Theocunboss, mon prénom IRL ? C'est Théo, j'ai 14 ans et je suis un mordu du PvE et PvP. Je suis motivé ç entré dans ce serveur car je suis un mordu de RP et que j'aimerais ammener d'autres personnes sur le serveur.
RP: Le temps où l’on se promenait dans les rues du Saint Trident en toute quiétude était révolu. Désormais, c’étaient des personnes en panique qui arpentaient la cité en désuétude. La ville était assiégée, de toutes les façons qu’elle pouvait l’être. Les forces des engeances étaient arrivées il y avait déjà quelques jours, tentant dans une première offensive de faire plier nos forces armées, puis de corrompre nos esprits faibles et belliqueux. Pauvre âme humaine, si aisément destructible. Une très grande partie de nos combattants avaient baissé les armes, d’autres avaient préféré la fuite, abandonnant leurs biens. Impossible de trouver les anciens maîtres dans ce chaos et peut-être qu’ils avaient sombré eux aussi, dans cette folie. Je me rappelle encore de cet enfant qui hurlait, caché derrière quelques tonneaux, que j’avais pu emporter lors de notre retraite au temple. C’était devant ce chaos, ce désespoir qui nous dévorait tous, que John m’avait demandé de chevaucher jusqu’à Nouvelle-Azur, dans l’espoir de quérir de l’aide auprès d’Anubis et de sa garde. Le passage secret s’ouvrit sans encombre et je pus gagner l’extérieur. La vision qui s’offrit à moi me glaça le sang. Les créatures de la nuit valsaient au cœur des ténèbres. Dans ce rythme endiablé, leur corps allaient et venaient avec souplesse et puissance, assurance et incertitude. Aucun regard humain n’aurait pu analyser correctement leur déplacement, tant leur vitesse semblait irréelle. Ils évoluaient comme des ombres, au sein d’un Tango Antithétique. Aussitôt, des voix résonnèrent dans ma tête, tandis que je courrais vers l’écurie.
« Vois-tu ce qu’ont fait tes compagnons ? Vois-tu comme la paix est fragile et éphémère ? Nous ne connaissons pas cette crainte d’être dominé, nous ne connaissons ni la peur ni la douleur. Ne serait-ce pas une belle issue de te rallier à nous, humaine ? Nous t'offrons un alléchant salut. »
L’air saturé de cendres et de braises brûlait les poumons. La lune émergeait facilement depuis l'épais nuage de fumée, comme si l'astre tirait les ficelles depuis son abri céleste. J’atteignis difficilement l’écurie. La porte en bois eut du mal à s’ouvrir mais le battant finit par sauter. Je réussis à attraper une selle et un filet et à préparer mon cheval à la hâte, jetant son harnachement sur le dos. Celui-ci était affolé depuis bien longtemps et à ma vue, il s’était cabré en hennissant bruyamment. Ses sabots grattaient le sol avec frénésie, sa queue fouettait l’air et ses naseaux dilatés montraient son inquiétude. A peine à l’extérieur, celui-ci tira sur sa bride dans l’espoir de s’enfuir rapidement. J’enfourchai rapidement l’étrier mais un être difforme et élancé se planta devant moi. Du haut de ses jambes filiformes se trouvait un corps noir, à la peau huileuse. Les bras ballants, calme. Ses grands yeux améthyste plongèrent dans mon regard, dans mon âme. Prise au piège dans cette prison mentale, je me sentais défaillir. La proximité d’un ennemi aussi puissant et aussi mauvais me laissa pétrifiée. Les murmures insistants qui avaient assailli mon esprit jusqu’à alors, devinrent une voix impérieuse et triomphante, rampant dans mon esprit et s’y installant comme un parasite incontrôlable. Elle riait presque de ma situation et se réjouissait de la tournure que prenaient les évènements. Non, elle jubilait, avec une pointe démoniaque et malsaine de tout ce feu, de tout ce sang. Son rire vibrait dans ma tête. Sa voix paralysait mes membres.
« Suis donc l’exemple des autres, humaine. La fuite ne sera pourtant pas ton salut. Nous te retrouverons ainsi que les tiens. Quant aux autres, lorsqu’ils sortiront du temple, il n’en restera rien. Votre ordre nous a trop longtemps contrés. »
Il disparut alors, me laissant la vie sauve. Pour le moment. Sans perdre de temps, j’incitai mon cheval à prendre la route. Il partit alors sans demander son reste. Ses sabots touchaient à peine le sol, emporté par son instinct de survie qui lui dictait de quitter les lieux au plus vite. Je serrais les lanières de cuir de toutes mes forces, apeurée par l’idée de me faire happée par une force inconnue, et me concentrai sur la route à prendre. La plus courte. Couper à travers champs, à travers les forêts et gagner Nouvelle Azur le plus vite possible. Lorsque je sentis leur oppression diminuait, je me retournai vivement, jetant un seul et unique coup d’œil derrière moi. Une épaisse fumée noire s’élevait de la ville, de derrière nos murailles qui tenaient debout, malgré tout, étouffant une lueur rougeâtre. Les vestiges de notre ordre s’éteignaient dans un dernier brasier, les cris des habitants déjà estompés dans la nuit. La cathédrale était encore là et semblait être un titan de pierre résistant aux assauts. Elle repoussait les forces ennemies de par sa magnificence et sa structure colossale, qui lui permettait de ne pas choir. Elle se détachait des flammes et semblait les dominer du haut de sa grandeur.
Le cœur serré, je poursuivais ma route, animée non pas par la colère et le désir de vengeance, mais par une lueur d’espoir qui guidait mon chemin. Le temple pouvait tenir encore, tant que les survivants priaient et ce temps accordé me permettrait peut-être de rallier les Azuréens à notre cause. Après tout, Anubis nous procurait ses meilleurs combattants, qu’il entrainait dans sa caserne personnellement afin de nous aider dans notre lutte ancestrale contre les engeances. J’osais espérer ne pas être la seule à croire encore à la renaissance de notre patrie car après tout, le feu n’est pas symbole de destruction, mais de renouveau.
La renaissance du Saint Trident pouvait commencer.
RP: Le temps où l’on se promenait dans les rues du Saint Trident en toute quiétude était révolu. Désormais, c’étaient des personnes en panique qui arpentaient la cité en désuétude. La ville était assiégée, de toutes les façons qu’elle pouvait l’être. Les forces des engeances étaient arrivées il y avait déjà quelques jours, tentant dans une première offensive de faire plier nos forces armées, puis de corrompre nos esprits faibles et belliqueux. Pauvre âme humaine, si aisément destructible. Une très grande partie de nos combattants avaient baissé les armes, d’autres avaient préféré la fuite, abandonnant leurs biens. Impossible de trouver les anciens maîtres dans ce chaos et peut-être qu’ils avaient sombré eux aussi, dans cette folie. Je me rappelle encore de cet enfant qui hurlait, caché derrière quelques tonneaux, que j’avais pu emporter lors de notre retraite au temple. C’était devant ce chaos, ce désespoir qui nous dévorait tous, que John m’avait demandé de chevaucher jusqu’à Nouvelle-Azur, dans l’espoir de quérir de l’aide auprès d’Anubis et de sa garde. Le passage secret s’ouvrit sans encombre et je pus gagner l’extérieur. La vision qui s’offrit à moi me glaça le sang. Les créatures de la nuit valsaient au cœur des ténèbres. Dans ce rythme endiablé, leur corps allaient et venaient avec souplesse et puissance, assurance et incertitude. Aucun regard humain n’aurait pu analyser correctement leur déplacement, tant leur vitesse semblait irréelle. Ils évoluaient comme des ombres, au sein d’un Tango Antithétique. Aussitôt, des voix résonnèrent dans ma tête, tandis que je courrais vers l’écurie.
« Vois-tu ce qu’ont fait tes compagnons ? Vois-tu comme la paix est fragile et éphémère ? Nous ne connaissons pas cette crainte d’être dominé, nous ne connaissons ni la peur ni la douleur. Ne serait-ce pas une belle issue de te rallier à nous, humaine ? Nous t'offrons un alléchant salut. »
L’air saturé de cendres et de braises brûlait les poumons. La lune émergeait facilement depuis l'épais nuage de fumée, comme si l'astre tirait les ficelles depuis son abri céleste. J’atteignis difficilement l’écurie. La porte en bois eut du mal à s’ouvrir mais le battant finit par sauter. Je réussis à attraper une selle et un filet et à préparer mon cheval à la hâte, jetant son harnachement sur le dos. Celui-ci était affolé depuis bien longtemps et à ma vue, il s’était cabré en hennissant bruyamment. Ses sabots grattaient le sol avec frénésie, sa queue fouettait l’air et ses naseaux dilatés montraient son inquiétude. A peine à l’extérieur, celui-ci tira sur sa bride dans l’espoir de s’enfuir rapidement. J’enfourchai rapidement l’étrier mais un être difforme et élancé se planta devant moi. Du haut de ses jambes filiformes se trouvait un corps noir, à la peau huileuse. Les bras ballants, calme. Ses grands yeux améthyste plongèrent dans mon regard, dans mon âme. Prise au piège dans cette prison mentale, je me sentais défaillir. La proximité d’un ennemi aussi puissant et aussi mauvais me laissa pétrifiée. Les murmures insistants qui avaient assailli mon esprit jusqu’à alors, devinrent une voix impérieuse et triomphante, rampant dans mon esprit et s’y installant comme un parasite incontrôlable. Elle riait presque de ma situation et se réjouissait de la tournure que prenaient les évènements. Non, elle jubilait, avec une pointe démoniaque et malsaine de tout ce feu, de tout ce sang. Son rire vibrait dans ma tête. Sa voix paralysait mes membres.
« Suis donc l’exemple des autres, humaine. La fuite ne sera pourtant pas ton salut. Nous te retrouverons ainsi que les tiens. Quant aux autres, lorsqu’ils sortiront du temple, il n’en restera rien. Votre ordre nous a trop longtemps contrés. »
Il disparut alors, me laissant la vie sauve. Pour le moment. Sans perdre de temps, j’incitai mon cheval à prendre la route. Il partit alors sans demander son reste. Ses sabots touchaient à peine le sol, emporté par son instinct de survie qui lui dictait de quitter les lieux au plus vite. Je serrais les lanières de cuir de toutes mes forces, apeurée par l’idée de me faire happée par une force inconnue, et me concentrai sur la route à prendre. La plus courte. Couper à travers champs, à travers les forêts et gagner Nouvelle Azur le plus vite possible. Lorsque je sentis leur oppression diminuait, je me retournai vivement, jetant un seul et unique coup d’œil derrière moi. Une épaisse fumée noire s’élevait de la ville, de derrière nos murailles qui tenaient debout, malgré tout, étouffant une lueur rougeâtre. Les vestiges de notre ordre s’éteignaient dans un dernier brasier, les cris des habitants déjà estompés dans la nuit. La cathédrale était encore là et semblait être un titan de pierre résistant aux assauts. Elle repoussait les forces ennemies de par sa magnificence et sa structure colossale, qui lui permettait de ne pas choir. Elle se détachait des flammes et semblait les dominer du haut de sa grandeur.
Le cœur serré, je poursuivais ma route, animée non pas par la colère et le désir de vengeance, mais par une lueur d’espoir qui guidait mon chemin. Le temple pouvait tenir encore, tant que les survivants priaient et ce temps accordé me permettrait peut-être de rallier les Azuréens à notre cause. Après tout, Anubis nous procurait ses meilleurs combattants, qu’il entrainait dans sa caserne personnellement afin de nous aider dans notre lutte ancestrale contre les engeances. J’osais espérer ne pas être la seule à croire encore à la renaissance de notre patrie car après tout, le feu n’est pas symbole de destruction, mais de renouveau.
La renaissance du Saint Trident pouvait commencer.
theocunboss- Messages : 1
Date d'inscription : 17/04/2013
Re: Candidature de Theocunboss
Ta candidature laisse à désirer, on ne sais absolument rien de toi si ce n'est que tu aimes te casser les pieds à écrire un RP de 50 pages, que je n'ai d'ailleurs pas lu jusqu'au bout. Je préfère lire 50 pages de description de la personne histoire de mieux la connaitre...
Et tu es trop jeune pour le serveur :3
Et tu es trop jeune pour le serveur :3
Kapcash- Messages : 992
Date d'inscription : 07/12/2012
Re: Candidature de Theocunboss
Normal Kap le RP c'est du plagiat XD
[url:z6hjaair]http:
//www.
minefield.
fr/forum/viewtopic.
php?t=47330&
p=287256[/url:z6hjaair]
Quand j'ai vu la qualité orthographiques des deux premières ligne et celle du RP
Je suis chaud là ! :devil: deux plagieur démasqués en 24 h :mrgreen:
[url:z6hjaair]http:
//www.
minefield.
fr/forum/viewtopic.
php?t=47330&
p=287256[/url:z6hjaair]
Quand j'ai vu la qualité orthographiques des deux premières ligne et celle du RP
Je suis chaud là ! :devil: deux plagieur démasqués en 24 h :mrgreen:
zarmatustra- Messages : 1263
Date d'inscription : 30/11/2012
Re: Candidature de Theocunboss
Bienvenue sur le forum.
Sondage ajouté, nous sommes 11 votants, 7 votes positifs sont requis pour être accepté. Bonne chance.
Sondage ajouté, nous sommes 11 votants, 7 votes positifs sont requis pour être accepté. Bonne chance.
Marlock- Administrateur du site
- Messages : 1843
Date d'inscription : 29/11/2012
Re: Candidature de Theocunboss
BIen joué Zarma
Marlock, je ne vois pas pourquoi tu met le sondage pour une telle candidature...
Marlock, je ne vois pas pourquoi tu met le sondage pour une telle candidature...
Kapcash- Messages : 992
Date d'inscription : 07/12/2012
Re: Candidature de Theocunboss
xd réflexe !!!
pardonnes le ^^
pardonnes le ^^
zarmatustra- Messages : 1263
Date d'inscription : 30/11/2012
Re: Candidature de Theocunboss
Lina qui la mit, mais il avait oublié la phrase ^^
Je le met juste par respect =)
Je le met juste par respect =)
Marlock- Administrateur du site
- Messages : 1843
Date d'inscription : 29/11/2012
:: Partie Publique :: Candidatures
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum